Formation
13 janvier 2023
Afest

A la tête de ITI Communication et FACIL’iti, 2 PME intervenant dans le secteur du numérique à Limoges, Frédéric SUDRAUD a eu l’occasion de tester et mettre en œuvre l’AFEST pour résoudre deux problématiques de gestion des compétences très différentes. Avec un même succès et une totale satisfaction des fruits récoltés dans chaque situation.

« Pour ITI Communication, il s’agissait d’accompagner la montée en compétences d’un de nos techniciens, destiné à occuper le poste de son manager, à l’annonce du départ de celui-ci », expose F. Sudraud. Montée en compétences managériales alors qu’il n’avait jamais exercé cette discipline, mais aussi capacité à prendre en compte l’ensemble de l’environnement de l’entreprise et la question de la rentabilité économique des chantiers de conception artistique.

Montée en compétences dans un environnement sécurisé

« L’AFEST, telle qu’elle nous a été présentée par Atlas, s’est immédiatement imposée comme la solution à la question qui nous était posée, poursuit le gérant de l’agence de communication. Notre collaborateur promu allait pouvoir évoluer dans un cadre sécurisé, accompagné par nos cadres et son ancienne manager qui a joué le jeu de la totale transmission de ses savoirs managériaux. » Ce futur directeur artistique de l’entreprise bénéficie d’un parcours individualisé de 250 heures de formation.

Savoir-faire et compétences uniques, les trésors de l’entreprise

Dans le cas de FACIL’iti, la question est celle de la transmission de compétences uniques détenues par l’entreprise ; aucune formation externe n’aborde les contenus correspondant à ces savoirs spécifiques. « Chez FACIL’iti, reprend Frédéric Sudraud, nous produisons des logiciels destinés et adaptés aux personnes porteuses de handicaps, qu’il s’agisse de handicaps visuels, cognitifs telle la dyslexie ou encore moteurs. Nos solutions sont susceptibles d’intéresser plusieurs millions de personnes dans le monde et les savoir-faire détenus par nos collaborateurs constituent un patrimoine unique. Le recours à l’AFEST constitue le seul moyen de former nos nouveaux embauchés, dans un contexte sécurisé par les cadres et les outils mis en place, et sécurisant pour les personnels. Nous constatons à l’issue des sessions de formation, que nos collaborateurs ont grandi techniquement et humainement, ils se révèlent vraiment. »

Levée des freins à l’embauche

A l’heure actuelle, 6 collaborateurs nouvellement embauchés chez FACIL’iti bénéficient d’un parcours d’intégration conçu individuellement à leur intention, tenant compte de leurs acquis professionnels antérieurs et intégrant les modules visant la maîtrise requise de savoirs hautement technologiques. « Le recours à l’AFEST nous a permis de lever les freins que nous éprouvions à embaucher des collaborateurs nouveaux, dont l’intégration pouvait être longue et aléatoire », argumente Frédéric Sudraud.

Des gains multiples

Les parcours d’intégration varient ainsi, selon le degré d’individualisation des contenus, de 200 à 400 heures de formation. « La question de la formation ne se pose plus en termes de durée, souligne le dirigeant de ces deux PME limousines. L’AFEST nous a conduits à regarder la formation comme un véritable investissement, grâce auquel nous avons très peu d’échec à l’embauche. »

Frédéric Sudraud reconnaît également que les prises en charge financières apportées par Atlas constituent un levier important, mais non essentiel, dans la décision d’accompagner les collaborateurs lors de leur intégration. « L’AFEST est une excellente réponse aux besoins que nous avons rencontrés, conclut-il, nous prévoyons d’embaucher, sous ces modalités de montée en compétences, au moins trois à quatre nouveaux collaborateurs »