Etudes
6 octobre 2025

Le secteur de l’ingénierie devra recruter 60 000 salariés d’ici 2030, mais 61% des entreprises peinent déjà à trouver des candidats. Diversifier les viviers de talents, renforcer l’alternance et favoriser la féminisation sont essentiels pour sécuriser l’avenir du secteur. 

Découvrez notre étude sur les opportunités de recrutement et gestion des trajectoires professionnelles. 

Une étude riche d'enseignements

Le secteur de l’ingénierie, pilier de l’économie française et moteur des grandes transitions, devra recruter 60 000 salariés d’ici 2030, dont 45 000 créations nettes d’emplois.

Pourtant, 61% des entreprises déclarent dès à présent rencontrer des difficultés de recrutement, faute de candidats et d’attractivité des formations scientifiques, la réforme du baccalauréat de 2019 ayant accentué ce désintérêt et aggravé encore davantage la pénurie. 

Les difficultés de recrutement rencontrées concernent aussi bien des métiers accessibles après un Bac +2/3 qu'après une formation Bac +5. Parmi les métiers les plus difficiles à recruter, on retrouve :

  • Les conducteurs de travaux

  • Les chefs de projet

  • Les architectes IoT

  • Les techniciens de laboratoire

  • Les directeurs de projet

Pour combler l’écart, l’OPIIEC préconise de : 

Le message est clair : il est urgent d’ouvrir et de diversifier les viviers de talents pour sécuriser l’avenir du secteur et accompagner les grandes transformations.

Consulter l'étude sur le site de l’OPIIEC