Atlas
16 septembre 2025

Avec le soutien d'Atlas, Maisons de Famille - groupe d’EHPAD et de Résidences Services Seniors - a expérimenté Climate School Atlas, notre plateforme de sensibilisation en ligne dédiée aux enjeux climatiques. Déployée de mars à juillet 2025 auprès des 40 collaborateurs du siège en France, elle vise à sensibiliser aux impacts du climat sur les métiers et à initier des pratiques plus durables.

Aurélie André, Responsable Recrutement, Formation et Développement RH, et François Polverel, Directeur Impact et Durabilité du groupe au niveau Européen, reviennent sur le déploiement et les résultats de cette initiative.

Pourquoi avoir choisi de mettre en place un parcours de sensibilisation à la Transition Écologique ?

François Polverel : Nous voulions un dispositif adapté à notre réalité, avec un contenu accessible et concret. Pour nous, la RSE ne doit pas rester cantonnée à une fonction : elle doit transformer les métiers et s’intégrer dans le quotidien de chacun. C’est dans cet esprit que nous avons choisi une démarche volontaire, ludique et engageante.

Comment s’est concrétisé ce projet avec Atlas ?

Aurélie André : En tant qu’adhérente Atlas, j’ai reçu un mail de mon conseiller emploi-formation présentant la plateforme. L’initiative est arrivée au bon moment. Elle nous a tout de suite semblé pertinente et simple à prendre en main. François a exploré les modules, puis nous avons réuni l’équipe RH pour réfléchir à la meilleure façon de l’adapter à nos besoins.

Comment avez-vous embarqué vos collaborateurs ?

François Polverel : Nous avons opté pour un déploiement progressif, avec un parcours spécifique à nos enjeux autour de 5 thématiques clés. Chaque module, proposé toutes les 3 semaines, était suivi d’un déjeuner d’échanges pour relier les contenus à la réalité métier et entretenir une dynamique collective.

Aurélie André : Nous avons présenté ce projet comme un véritable parcours de sensibilisation interne, basé sur le volontariat. Sur les 40 salariés du siège, 20 se sont inscrits et 11 sont allés jusqu’au bout. Un kick-off avec la Direction, des déjeuners conviviaux et un passeport à compléter ont permis de stimuler la participation : une façon de gamifier l’expérience.

Quels bénéfices avez-vous constatés ?

Aurélie André : Le parcours a permis de « décloisonner » le sujet : la dimension RSE s’intègre désormais naturellement dans les projets et les échanges. Avant, seuls certains départements s’en étaient saisis. Aujourd’hui, la question de l’impact infuse largement et revient spontanément dans les réflexions.

François Polverel : Les vidéos, claires et accessibles, ont sensibilisé même les néophytes. L’initiative a été perçue comme ludique et motivante, et la forte implication des managers a légitimé le temps consacré.

Comment envisagez-vous la suite ?

François Polverel : Nous voulons capitaliser sur cette 1ère étape et inscrire la démarche dans la durée. Trois semaines après la fin du parcours, nous avons organisé un atelier sur les mobilités pour cartographier les habitudes de déplacement et orienter notre politique RH. L’objectif est de construire une transformation durable, autour d’actions collectives et utiles pour l’entreprise.

Je découvre la plateforme